Profil
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
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On le savait. Encore faut-il le répéter de temps à autre. Les États Unis n’ont pas été bien servis par le sort qui leur avait donné ce président mal élu de Georges Bush que le monde entier doit encore subir jusqu’en novembre 2008. Scène surréaliste la semaine dernière, le président reconnaît que tout va mal dans sa guerre. Alors, décision logique : Je dois continuer. Désespérant! On est pas sorti du Bush, à voir les dizaines de morts annoncés pour ce seul début de semaine en Irak et le départ des soldats québécois pour l’Afghanistan.
Désespoir!
« Il y avait quelque chose de pathétique à voir Georges Bush tenter une énième fois cette semaine de justifier sa guerre en Irak. Il assurait ainsi jeudi qu'elle pouvait être gagnée, que les troupes américaines font des progrès et que leur retrait anticipé mènerait à une catastrophe.
La CIA considère pourtant la guerre comme perdue et les différents rapports pointent régulièrement l'inefficacité du gouvernement irakien et l'échec du "sursaut" militaire voulu par l'administration américaine. Plus personne ne croit le président américain. Et il le sait. Visiblement atteint, il reconnaissait que l'Amérique est "fatiguée" de la guerre, et commentait avec une gêne évidente son impopularité record. Il évoquait même ce proche futur, quand, retiré des affaires dans son ranch du Texas, il pourra démontrer à ses hôtes qu'il avait eu raison. Or il a eu tort, plus personne ne l'ignore. Mais, à dix-huit mois de son départ, ses proches assurent qu'il se soucie de la trace qu'il laissera dans l'Histoire. Face au chaos, une partie de la presse américaine l'a déjà jugé: le plus mauvais président qu'aient jamais eu les Etats-Unis. » Gilles DELAFON, JDD Silence
Rédigé par psa le 16/07/2007 à 08:47
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