Profil
Pierre S. Adjété
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.




L'inquiétude dans les chancelleries africaines: un tango à deux ou du Couper-Décaler
L'inquiétude dans les chancelleries africaines: un tango à deux ou du Couper-Décaler
Parce que l’Afrique compte dans la grandeur de la France, l’une pourra difficilement se passer de l’autre, quel que soit l’hôte de l’Élysée.



« Jusqu'au bout, J. Chirac aura tenu son rôle. Plus ou moins bien. La présence très symbolique de M. Bouteflika, malgré ses incessantes attaques contre la France, toute comme celle de M. Moubarak, montre à quel point notre pays a conservé son prestige dans cette région du monde. Il appartient désormais au successeur d'être au niveau. Quel qu'il soit. De façon à démontrer que notre pays est encore à la hauteur de la situation sur la scène internationale. Sans la moindre compromission mais en toute honnêteté pour le plus grand bien de tous. »
Georges Latil, La Provence

« Il reviendra au futur président français de dessiner les contours de ce domaine très "réservé". En d'autres termes, de décider du rôle de la France dans un continent où l'instabilité politique est chronique. (…) À Cannes, J. Chirac a su passer le relais à A. Merkel, qui cumule la présidence du G8 et celle de l'Union européenne, pour que la cause africaine demeure une priorité. Mais il ne pouvait s'engager plus avant. De quoi semer le trouble parmi les chefs d'Etat africains, qui se savent condamnés à faire un saut dans l'inconnu au lendemain du scrutin de mai prochain. »
Françoise Crouïgneau, Les Echos



Horizon


Rédigé par psa le 20/02/2007 à 08:40



Équilibrisme ou amateurisme: une soixantaine de jours pour le dire
Équilibrisme ou amateurisme: une soixantaine de jours pour le dire
« On se raccroche à l'espoir d'un oral de rattrapage, (…) lundi soir sur TF1. Démarche d'équilibriste au-dessus d'un précipice, davantage, à l'évidence, que campagne construite, cohérente et orchestrée. Car si S. Royal a suscité des doutes dans un premier temps sur ce qu'elle était, avant de l'emporter face à Fabius et Strauss-Kahn, elle en suscite aujourd'hui sur ce qu'elle fait, ou ne fait pas, ou fait mal. Sur son amateurisme et ses tergiversations programmatiques. Le PS tangue, renâcle, prend peur, ce qui n'est pas le meilleur état d'esprit quand l'heure devrait être à la mobilisation. »
Michel Richard, Midi Libre

« Sans être encore tout à fait affligeante, la campagne de S. Royal devient inquiétante. Cela dit, une telle situation peut pousser la droite à la faute en tenant d'ores et déjà la victoire pour acquise, sans prendre en considération le niveau encore assez élevé des intentions de vote en faveur de la candidate socialiste, plus conséquent que celui exprimé au bénéfice de F. Mitterrand à la veille de sa victoire de 1981. Il n'en reste pas moins que les turbulences actuelles orientent plus la présidente de Poitou-Charente vers la chute en vrille que vers l'ascension en chandelle. »
Philippe Waucampt, Le Républicain Lorrain


Mot à Maux


Rédigé par psa le 16/02/2007 à 15:50



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