Profil
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
Dernières notes
5 Contre 108 : La Certitude du Déshonneur
29/05/2024
La Monnaie de Sang à la Togolaise
12/04/2024
Élection… Une Illusion Togolaise
22/02/2024
La RÉPUBLIQUE c'est l'ÉTHIQUE avant le DROIT
10/02/2024
À la recherche de la paix
03/11/2023
Togo… Non, Alain Foka
22/10/2023
Tags
adjété
Afrique
afrique
Agbéyomé Kodjo
Bénin
canada
clinton
crise
Côte d’Ivoire
démocratie
Démocratie
Faure Gnassingbé
football
Football
France
france
Gabon
Grand Pardon
juppé
kodjo
Liberté
Mandela
Obama
obama
Politique
politique
psa
québec
Québec
Sarkozy
Suisse
Sylvanus Olympio
Symposium
Togo
togo
Édem Kodjo
Élections
Éthique
élection
élections
Archives
|
Henri Matisse, 1908
Nous y voilà en ce fameux mois d’avril. Après le poisson des uns, ce serait bien la fête de la liberté pour l’Afrique du Sud et le Togo, le même jour, pour les autres. Dans les environs ici, je me suis souvent retrouvé dans les festivités avec nos amis sud-africains. Cette année 2008 –cent ans de cette curieuse œuvre de Matisse également- je me retrouve au cœur de ce mouvement qui désire faire coonverger les uns et les autres vers une célébration du 27-avril togolais en association avec l’Ambassade du Togo au Canada. Au fond, l’initiative est lointaine et date d’un samedi soir de janvier 2008, avant de se concrétiser dernièrement. Naturellement, il semble que certains ne sont pas contents… Les mêmes de la Ligue de réflexion mineure, naturellement. Le prétexte serait que personne d’entre eux n’a osé envisager une autre façon de célébrer le 27-avril que d’habitude, reclus sur soi, comme si rien ne se passe ailleurs et nulle part, comme si rien ne devrait être envisagé autrement, comme si l’économie de le réflexion est la seule chaînes de valeurs des citoyens du Togo. Avouons quand même que le peu de réaction que j’ai eu à parcourir d’un derrière distrait a manqué de tonalité cependant. Une voix sans doute réservée pour des rendez-vous plus productifs, je l’espère. Autant j’ai eu à approuver dernièrement et clairement, l'idée du projet du Forum de la diaspora togolaise énoncée par Gilbert Bawara, autant je suis fièrement actif aux côtés des initiateurs d’un 27-avril inclusif cette année et les suivantes. Et, mon souhait est que ça dure et s’étende dans toute la diaspora togolaise.
Ad Valorem
Rédigé par psa le 03/04/2008 à 19:44
Commentaires (1)
Chasseriau, Venus
«Avant de quitter la scène, George W. Bush fait ce qu'il peut. Après avoir longtemps provoqué le Kremlin avec son bouclier antimissile, en Pologne et en République tchèque, il tient enfin compte des objections russes et propose à Moscou un accord stratégique énumérant les thèmes de coopération possibles. Vladimir Poutine et lui se retrouveront à Sotchi après le sommet de l'OTAN pour sceller une entente bien artificielle. Pour cette Alliance atlantique en désarroi, si ce n'est en crise, la France, avec sa disposition à réintégrer le commandement intégré, est une bonne nouvelle, accueillie comme il se doit.» Pierre Rousselin, Le Figaro «Sur l'Afghanistan, il y un accord général pour poursuivre l'objectif, mandaté par l'ONU, qui est de débarrasser ce pays des talibans et le reconstruire. Dans le détail l'alliance est plus fragile, tant il s'avère que ces deux objectifs ne semblent pas près d'être atteints. Si nul ne veut - ou ne peut - revenir sur l'engagement initial, il y a plus que des nuances dans le niveau d'implication militaire de chacun et dans l'appréciation de la façon dont les Américains dirigent les opérations. Dans une telle situation, il est malaisé de concilier les contraires, comme le tente actuellement Nicolas Sarkozy.» Jean-Michel Helvig, Le Républicain Lorrain «Décrédibilisé par sa guerre en Irak, George Bush aura du mal à convaincre tous les alliés de l'Amérique à s'engager plus nettement en Afghanistan. On peut d'ailleurs se demander si, sur le plan intérieur français, les remerciements qu'il a prodigués hier à Nicolas Sarkozy seront productifs pour la popularité de ce dernier. Sur le fond, c'est la suite de l'histoire qui suscite interrogations et scepticisme. (…) Bref, l'engagement militaire occidental en Afghanistan appelle des objectifs clairs et des définitions précises : il s'agit de mener une guerre - le mot ne doit pas être tabou - dans l'antre du terrorisme international.» Patrice Chabanet, Le Journal de la Haute-Marne |