Profil
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
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« Ce dévissage continu conduit M. Sarkozy à perdre son sang-froid. Que le Conseil constitutionnel rende immédiatement inapplicable la détention de sûreté et le président de la République (…) se tourne vers le président de la Cour de cassation. (...) Qu'un visiteur au Salon de l'Agriculture refuse, agressivement, de lui serrer la main, et M. Sarkozy le traite de "pauvre con". Une attitude incompatible avec la dignité qu'on attend d'un président de la République. Et qui dénote, là aussi, un évident manque de sang-froid. Peut-on enfin espérer du Président qu'il se ressaisisse ? »
Midi Libre, Michel Noblecourt « Il a eu raison, Nicolas Sarkozy, ce Monsieur en est un. (…) L'ennui une fois encore, ce sont ces pulsions d'adolescent, ce manque de détachement qui provoque chez Nicolas Sarkozy des réactions ordinaires. Or il n'est pas ordinaire et il est président de la République. (…) À tant vouloir nous ressembler, il oublie de faire le Président, ignorant que les Français ne veulent pas d'un président "Monsieur tout le monde". D'autant, il faut bien en convenir, que les exercices populaires ne sont pas la spécialité première du chef de l'État. » La Montagne, Daniel Ruiz « Jean-Pierre Raffarin a raison : il faut sauver le soldat Sarkozy. (…) l'aider à s'extraire de la spirale infernale qui menace de tous nous happer. Le plus simple serait de lui dépêcher ses aînés, Giscard et Chirac, pour quelques conseils. L'ennui est qu'il a promis de ne rien faire comme eux. C'est même pour cela que nous l'avons élu... Mais voilà, passé l'exaltation des premiers mois, on aimerait que notre jeune et fougueux Président apprenne à faire l'omelette de la rupture sans casser des oeufs, sans violenter la Constitution ni offenser les bonnes manières. » Le Progrès, Francis Brochet « Depuis l'arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, le monde, selon un politologue, est devenu "plat" : parce que le nouvel élu l'a permis, voire souhaité, (…) Parce qu'il n'y a pas de différence entre le discours - capital - sur l'Europe et la diffusion - anecdotique - d'un SMS personnel. Qu'il n'y a pas de différence entre un couple présidentiel très digne recevant la famille d'Ingrid Betancourt et une vidéo électronique dérisoire, (…) sur un bain de foule et un badaud malpoli (…) du Salon de l'agriculture ! Cet homme a décidé (…) de prendre des coups et les rendre sans s'abriter derrière la majesté d'une fonction qu'il est en train de faire dériver. » La Nouvelle République du Centre-Ouest, Hervé Cannet Mot à Maux
Rédigé par psa le 25/02/2008 à 15:48
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