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Pierre S. Adjété
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Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
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Max Ernst
« La majorité est sévèrement sanctionnée. Le Président, qui avait commis l'erreur de vouloir "nationaliser" le débat, devra en tirer des conséquences rapides s'il veut éviter l'émergence de voix accusatrices, répondre aux attentes des Français et, en position bien moins favorable, des réformes impopulaires. (…) Le PS reste soumis aux ambitions personnelles dans la perspective du congrès de la succession. Enfin, un bon résultat, dimanche prochain, risquerait d'accentuer le repli local d'élus qui préfèrent la satisfaction d'une gestion aux effets visibles aux affres nationales d'une impossible refondation. »
Michel Urvoy, Ouest-France « Le premier tour des élections municipales annonce une vague rose. A vrai dire, la victoire de la gauche n'est pas une surprise. (…) Et puis, sans doute possible, les électeurs ont profité du scrutin pour lancer un avertissement au chef de l'Etat et à son gouvernement. Faut-il évoquer un "vote-sanction", comme le fait la socialiste Ségolène Royal ? Il est trop tôt pour l'affirmer. (…) Les électeurs ont maintenant une semaine pour rectifier ou amplifier cette première mise en garde à N. Sarkozy. » Rémy Godeau, L'Est républicain « Il faudra néanmoins attendre le second tour - n'a-t-on pas vu des correctifs s'opérer y compris lors des dernières législatives - pour mesurer l'état réel de l'opinion. Sachant que le Président n'aura plus, d'ici 2012, d'échéances "couperet". Il pourra sans doute bénéficier après le 16 mars du climat plus apaisé qui suit tout rendez-vous électoral. D'autant que le PS - même s'il est vraisemblable qu'il sorte renforcé de ce scrutin - devra régler ses dissensions internes et faire son aggiornamento, épreuve qu'il devra désormais affronter quelle que soit l'issue de ces élections. » Jean-Pierre Souchon, Le Dauphiné libéré Horizon
Rédigé par psa le 11/03/2008 à 11:01
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Georges Seurat, Modèles... à suivre
« N. Sarkozy qui dirige le pays lui, ne fait pas le fiérot, vu son état sondagier. Bien sûr, il entendra les balles électorales lui siffler aux oreilles. Un bruit désagréable. Mais pas question de se laisser déstabiliser : il continuera ses réformes, gardera pour l'essentiel ses ministres et aura l'œil fixé sur le seul horizon qui lui importe, 2012, quand on pourra vraiment juger de son bilan. Dimanche soir, on n'a pas fini d'entendre par la gauche que Sarkozy a été désavoué par les urnes. La droite, elle, rétorquera que la gauche, décidément, ne se résout pas à sa défaite présidentielle. » Michel Richard, Midi Libre « Un exécutif qui s'énerve, une droite plus ou moins habilement masquée, une opposition qui ne rêve que de vote-sanction, des sondages qui annoncent une vague rose dans un grand nombre de villes, tout indique que le scrutin de dimanche est avant toute chose un test politique majeur. Du reste, contrairement à ses partisans, le président de la République a la franchise de l'admettre "Je sais que ce scrutin aura aussi une signification politique que j'entendrai et dont je tiendrai compte." Voilà qui peut aider l'électeur dans son choix. » Bernard Revel, L'Indépendant du Midi « Ces élections sont par excellence celles de la proximité. (…) Sur ces thématiques les candidats doivent être solides et en phase avec les attentes locales pour l'emporter. Ils ont besoin d'être proches des gens pour bien les écouter et les comprendre. (…) Faire des communes à la fiscalité raisonnable où il fait bon vivre est une ambition partagée par tous les candidats qui sollicitent les suffrages de leurs concitoyens. Que les meilleurs gagnent ! » Hervé Chabaud, L'Union |