Profil
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
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Bacchante
Quelque part, pas loin du divan, aucun médecin psychanalyste n’aurait de difficulté à découvrir qu’il existe un sentiment de culpabilité récurrent et profond chez son patient, le Rassemblement du peuple togolais (RPT). Ses rapports avec son père géniteur d’abord, ses propres relations amoureuses avec le pouvoir; un amour absolu et coupable à la fois qui le pousse toujours et malgré lui à partager l’objet de ses désirs avec d’autres, ceux-là même qu’il déteste cordialement. Ce patient s’invente un monde à lui, réel mais bariolé d’actes manqués, de perversion à tout crin et de narcissisme qui le fait passer d’un ami à un autre, pensant ainsi quérir un amour national. Seul, et uniquement seul, le patient se doit d’avancer vers les possibilités raisonnables de sa thérapie. Il est face à ses propres choix. Une fois encore…
Silence
Rédigé par psa le 06/11/2007 à 08:17
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‘’La Vérité sortant du puits’’, Édouard Debat-Ponsan
C’est vrai que je ne parle plus beaucoup de notre ami Barack Obama. Un ressort s’était cassé entre lui et moi depuis qu’il a eu un ton étonnamment guerrier vis-à-vis de certains pays. Je n’y oppose pas un angélisme béat. Je me suis toujours attendu à ce que le futur Commandant en chef des armées américaines fasse à un moment donné, une démonstration de force aux yeux de l’opinion américaine et mondiale. Mais, la nervosité avec laquelle il s’y était mis, il y a quelques mois, avait de quoi m’étonner, me refroidir un peu. Il demeure mon premier choix jusqu’aux toutes premières vérités des Primaires de février–mars 2008. Avouons tout de même que les Clinton se sont pris à deux pour arriver à contenir la progression de Barack. Le phénomène Obama demeure retentissant, partout à travers les États Unis : plus que tout autre candidat, notre ami Barack draine les foules, ramène les gens ordinaires à la politique, suscite l’espoir d’une Amérique moins déchirée à l’intérieur et moins rejetée à l’extérieur. Que ça fait du bien ! La politique en a bien besoin.
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