Profil
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
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Pour l'amour du Foot
Un conflit de personnalité latent s’est émergé aux toutes premières heures de vie du nouveau bureau de la Fédération Togolaise de Football (FTF), entre le président Tata Avlessi et son 1er vice-président Gabriel Améyi. Très rapidement, alors que certains voyaient l’ami des deux richissimes togolais, Tino Adjété, le trésorier général, dans un rôle de rapprochement entre ces personnes devenues membres de la même équipe de gestion, c’est plutôt le Général Seyi Memène et l’ancien Premier ministre Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo qui se sont mis à la tâche, rapidement. Ce matin, j’ai eu la confirmation que le rapprochement est fait, très sérieusement, pour le bien du football togolais. C’est donc réglé, jusqu’à nouveau désordre entre tata Avlessi et Gabriel Ameyi; ce que personne ne souhaite, bien sûr. Au-delà de cet épisode, Ce qui m’est revenu à l’esprit, c’est ce curieux hasard qui met aujourd’hui deux grandes fortunes togolaises à la gestion de la FTF. Curieux, effectivement. Peut-être que cette gestion s’en porterait mieux. Et les résultats avec… En attendant, faudra-t-il ramener notre ami Stephen Keshi aux commandes de la Sélection nationale togolaise, Les Éperviers, pour provoquer une onde de choc favorable, comme ce fut le cas avec le défunt Gotlieb Goeller à l’époque ? La question est sur toutes les lèvres ; les décisions sont à venir.
Ad Valorem
Rédigé par psa le 12/01/2007 à 15:27
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Du dernier soubresaut
« La défaite que ne veut pas reconnaître Bush est avant tout d'ordre politique. L'expédition irakienne avait deux justifications: contrer des "armes de destruction massive" et instaurer la démocratie. La deuxième est désormais aussi improbable que les premières ont été introuvables. L'opinion américaine tient le compte de ces désillusions. (…) Désormais, les partisans d'un retrait militaire sont majoritaires. Bush répond qu'un tel retrait serait désastreux pour l'Irak. C'est vrai. Mais il en ira de même vingt mille GI plus tard. (…) Puis Bush retrouvera son dilemme: payer ou partir.»
Gérard Dupuis, Libération « C'est bien difficile, lorsqu'on se fourvoie aux yeux du reste du monde, d'accepter de le reconnaître. On s'est trompé, mais on veut avoir raison. Et plutôt que d'admettre que l'idée n'était pas judicieuse, que la stratégie était mauvaise et la mise en œuvre déplorable, on se raccroche à l'idée que les moyens étaient insuffisants. (...) G. W. Bush n'en est pas encore à mesurer l'étendue de son propre échec. Il croit qu'il peut toujours retourner la situation parce qu'il est le plus fort et qu'il ne saurait capituler. Combien, dans ces conditions, faudra-t-il encore de victimes ? » Jean Levallois, La Presse de la Manche « Contrôler une ville de cinq millions d'habitants, où se mêlent les communautés et où la guerre civile est déjà bien engagée, va coûter cher au contingent américain. (…) L'enjeu symbolique de la bataille pour Bagdad est crucial pour l'Irak, mais aussi au-delà, dans l'ensemble de la région, où l'inquiétude est vive de voir une capitale arabe otage de la confrontation entre chiites et sunnites. G. W. Bush n'avait plus de stratégie irakienne. Il entreprend cette bataille, face au scepticisme de l'opinion américaine et du Congrès. C'est sa dernière chance de sauver sa présidence. » Pierre Rousselin, Le Figaro « La présence des Américains est "une source d'instabilité et non de stabilité en Irak", selon (…) J. Stiglitz. La sagesse leur commande de préparer leur retrait. Encore faut-il savoir quand et comment. Il n'est pas sûr que les démocrates, qui avaient d'ailleurs approuvé, au début, l'assaut contre S. Hussein, le sachent mieux que G. Bush. (…) L'Amérique ne peut tourner les talons en se lavant les mains du désastre qu'elle a déclenché. Il ne sera pas facile pour elle, ni pour personne, de trouver une solution qui évite d'accroître les souffrances des Irakiens et l'instabilité de la région. » Joseph Limagne, Ouest-France |