Profil
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.
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Surenchère permanente
« La classe politique manque-t-elle à ce point de travail pour s'adonner en permanence au petit jeu des "heurts supplémentaires" ? Pas un jour ne se passe, (…) sans que la surenchère verbale - pour ne pas dire verbeuse - tienne lieu de débat. (…) À croire que nos représentants de tout bord n'ont désormais qu'un seul souci. Ne pas rater le bus. Mais pas celui qui brûle à Marseille ou ailleurs. Non: celui de la prochaine destination électorale. Et ce "véhicule"-là, à force de jouer avec les allumettes des rivalités partisanes, ils pourraient bien finir par y mettre le feu eux-mêmes. »
Didier Pobel, Le Dauphiné Libéré Ad Valorem
Rédigé par psa le 31/10/2006 à 10:37
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La plaidoirie de Ginette Berthiaume
Il était riche aussi, l’âne de Buridan. Il était riche et pauvre. Pauvre, foncièrement, avant d’être riche, pourrons dire certains. Il mourut, le ventre creux, incapable de choisir entre l’avoine et l’eau. C’est vrai qu’il avait autant soif que faim. Malheureusement, il n’a pas su choisir… seulement par où commencer… dans lequel des deux boisseaux tremper sa tronche d’abord, avant d’en venir à l’autre.
Je ne comprends pas les hésitations à intégrer l’UFC au gouvernement du Togo. C’est probablement le parti le plus populaire, riche en adhérents et sympathisants réels et fictifs. Une telle richesse de popularité doit s’inviter dans le Gouvernement d’union nationale, actuellement au service des Togolais. Une chose est l’incompétence politique de son leader, Gilchrist Olympio, une autre est d’éviter de laisser de côté nos nombreux amis de l’UFC, avec un sentiment de rejet et la mort dans l’âme. Je n’ose pas penser qu’avec une telle richesse de militantisme, ce parti soit sur le point de connaître une ère d’amère pauvreté, à cause de l’indécision caractérielle de son chef. S’il n’existe aucune raison objective de concéder la présidence de la CENI à l’UFC, passé les moments d’errements de Gil, rien ne doit plus s’opposer à la présence de ce parti dans ce gouvernement. C’est un engagement collectif que chacun, chaque signataire, doit s’y retrouver. Je plaide pour la pauvre UFC dont l’accueil rendra tout le monde digne du nouveau modèle togolais ! J'y associe Ginette Berthiaume et sa belle oeuvre. |