Profil
Pierre S. Adjété
Pierre S. Adjété
Né à Lomé, PSA a fait ses études au Togo, au Gabon et au Canada. Économiste, administrateur et essayiste, PSA est un partisan assumé du «Grand Pardon» et un adepte de l’Éthique dans l’espace public; il est un acteur engagé dans des initiatives citoyennes et républicaines.




Picasso, au secours de la politique française
Picasso, au secours de la politique française
« L'UMP ne disposent pas de beaucoup d'angles d'attaque puisqu'ils s'interdisent (...) de brutaliser une faible femme. (…) C'est la raison pour laquelle ils ont tourné le fer dans la plaie chaque fois que S. Royal a démontré une faiblesse. (...) Gagnés par le doute, les socialistes ont sauté sur l'occasion que leur offrait le retour du spectre du "cabinet noir". Le prétexte était trop beau. Il leur permet de masquer les faiblesses actuelles, de mobiliser leur camp et de mettre le doigt sur l'un des points sensibles de N. Sarkozy : la confusion des genres entre fonction ministérielle et état de candidat. »
Philippe Waucampt, Le Républicain Lorrain

« La bécassination est une arme qui par le passé a montré ses limites. (...) Bécassine est populaire. C'est la petite provinciale naïve qui multiplie les bévues chez les Parisiens, mais elle sait aussi être patriote et courageuse, elle a son franc parler, des idées et du bon sens. Il n'est pas sûr que la caricature déplaise à Royal qui se nourrit d'antiparisianisme. (...). Sarkozy, lui-même, y vient, qui attribue à Mitterrand les paroles historiques de Giscard. Cela n'a pas fait beaucoup de bruit. Sans doute parce que les socialistes ne veulent pas lui faire le cadeau de l'habiller en Gaston Lagaffe. »
Jean-Michel Thénard, Libération



Mot à Maux


Rédigé par psa le 26/01/2007 à 07:57



Le plébiscite « à la soviétique »
Le plébiscite « à la soviétique »
« Rarement on aura vu, en France, un candidat cumuler autant de casquettes qui, quoique provisoires, permettent à Nicolas Sarkozy de mettre en scène plusieurs visages afin de rafler une mise électorale plus large. À ceux qui lui reprocheront sa froideur, il opposera son discours d’intronisation. À ceux qui l’attaqueront pour son laxisme, il répondra avec les arguments du ministre de l’Intérieur. Cette dualité ne pourra certes pas durer infiniment, mais tout indique que le candidat de l’UMP entend s’en servir le pus longtemps possible.
Là où le bât blesse c’est que, et les chiffres sont implacables, le bilan, y compris au niveau de la délinquance, n’est pas aussi brillant qu’on veut le faire croire. Au-delà des simagrées, les résultats sont maigres. Et, qu’il le veuille ou non, le grand handicap de Nicolas Sarkozy, dans la bataille qu’il vient d’engager, c’est d’être lesté d’un bilan gouvernemental désastreux doublé, lui, d’une criante crise de confiance des Français. Un cocktail qui pourrait réserver mainte surprise lors du scrutin d’avril prochain. »
Anonyme (Sarkoshow) dans Bellaciao



Mot à Maux


Rédigé par psa le 22/01/2007 à 04:53



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